18 mai 2005

perdu comme un cimetière de campagne

Au milieu des arbres, ce film là fait durer le songe d’un cinéma taiseux comme on boude, joueur comme l’enfance dans la forêt, habité comme la maison de l’ogre, fou comme un chiot apeuré, solitaire comme une cabane dans les bois, tendre comme un frère avec une sœur. Voir ce film pour chaque instant : pour les scènes de mime, pour un frère à genoux, pour une part de tarte avalée d’un seul trait, pour se faire tirer les cheveux, pour tout savoir sur les dromadaires.
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